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Foltête’s work fluctuates between the two infinites. He is interested in working out the fragile equilibrium between both and is passionate about human nature, free will, justice, human rights and dignity.

He dedicates a part of his work studying modern and contemporary literature treating of these topics. Transcribing in full length some of their writings to better penetrate both their and his solitude and interior turmoil. The enormous amount of materials and intelligence available in the “great literature” is an endless richness in which he digs to elaborate intellectual, poetical and plastic concepts. So, the study of human nature as a whole motivates him.

This patient yet lonely exercise induces a sort of ecstasy, a melancholy in the sense defined by Victor Hugo: “melancholy, is the joy of being sad”. Furthermore, this exercise is also a portal to the unconscious, somewhere between meditation and dreams… some useful substances can come out of this and may develop in intellectual and artistic concepts...

Foltête stages subjects, concepts and universes to which he is particularly sensitive. He often expresses himself by creating microcosms which, by the delimitation of their space, engage the observer to deepen his reflection.

Foltete is not particularly attached to any specific medium nor technique. Whatever is requested by the vision and the concept will be used.

He believes contemporary art is sometimes exhausted a little too much in the explanation of its gesture and the meaning it pursues. Foltête strives never to sacrifice the aesthetic and poetic dimension of the work for the benefit of the concept and vice versa. He articulates his work around an equilateral triangle whose three vertices are:

 

  1. The thinking & concept;

  2. Poetry & Aesthetics;

  3. Ethical, social and/or political concern.

 

Friedensreich Hundertwasser once said: “Dreaming alone, is nothing but a dream. Dreaming together, is the beginning of reality.” Foltête’s ambition is to make a common dream become a reality, around the plastic expression he expresses from this dream.

Le travail de Foltête oscille entre les deux infinis. Il s’intéresse aux extrêmes et recherche le fragile équilibre entre les deux. Passionné par la nature humaine, les notions de libre arbitre, de justice, de droits ; il oriente son travail autour de ces thèmes.

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Pour partie, il se rapproche de grands auteurs de la littérature moderne et contemporaine qui ont été préoccupés par les mêmes sujets. En retranscrivant certains de leurs écrits intégralement, il arrive à mieux éprouver leur solitude et leurs réflexions. La somme des matériaux et de l’intelligence disponibles dans la «grande littérature» constitue une richesse formidable sur laquelle il s’appuie, entre autres, pour développer des concepts plastiques reflétants des pensées, parfois originales, qui encouragent le questionnement et la réflexion du regardeur.

 

À travers ces exemples, ce sont les recherches sur la complexité de la nature humaine dans son ensemble qui rythme ses journées de travail. Parfois, cet exercice solitaire induit une extase, une mélancolie dans le sens défini par Victor Hugo « la mélancolie, c’est le bonheur d’être triste».

 

C’est aussi un portail vers son « non-conscient » un peu de la même façon que peut l’être le rêve ou la méditation. Peuvent se dégager ainsi des substances utiles à l’élaboration de ses concepts, qu’il utilise parfois pour réaliser ses œuvres.

Foltête n’est jamais vraiment attaché à suivre un mode d’expression particulier ni favoriser une technique ou un médium spécifique. Ainsi, quelle que soit la forme (installation, photographie, aplat ou autres) il met en scène des sujets, des concepts et des univers auxquels il est particulièrement sensible. Il s’exprime souvent en créant des microcosmes qui, par la stricte délimitation de leur espace, engagent l’observateur à approfondir sa réflexion.

Lorsqu’il traite de sujets graves, de problématiques humaines ou de phénomènes sociétaux, Foltête s’efforce de produire une émotion poétique. L’art contemporain s’épuise parfois un peu trop dans l’explication de son geste et du signifié qu’il poursuit, de son côté, Foltête s’efforce à ne jamais sacrifier la dimension esthétique et poétique de l’œuvre au profit du concept et réciproquement.

 

Gérald Foltête articule sa production autour d’un triangle équilatéral dont les sommets sont :

 

1. La réflexion et le concept ;

2. L’esthétisme et la poésie.

3. La préoccupation éthique, sociale et politique.

 

Friedensreich Hundertwasser a dit : « rêver seul, ce n’est qu’un rêve. Rêver ensemble, c’est le début d’une réalité ! ». l’ambition de Foltête est de donner réalité à un rêve commun, de rassembler autour de son expression plastique et intellectuelle ce qu’il propose de ce rêve.

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